Envolées funestes
Qui part le coeur empli d'espoir, S'en va mourrant vers le brouillard. La nuit se prolonge pour les acharnés, Qui voient en leurs songes s'ouvrir le sacré. Mais rien n'est plu vain que les beaux étés, Que l'on croit prochains dans les grises fumées. Plutôt...